Avant d’être un jeu, les courses hippiques sont un sport. Et le sport hippique présente un point commun avec les sports « classiques » que vous connaissez, c’est la répartition par groupes de niveaux. Au foot, vous avez la Ligue 1, la Ligue 2 et le National. Au PMU, c’est organisé en épreuves de plusieurs niveaux plus ou moins « huppés » et difficiles.
Vous allez ainsi voir que cette organisation est parfaitement rodée pour garantir à tous les chevaux la possibilité de courir, et de gagner une course théoriquement à leur portée. Les courses sont réparties en 3 grandes catégories.
Première catégorie : les courses « à réclamer ».
Pour commencer, les courses « à réclamer » sont peu nombreuses. Et tous les chevaux qui participent sont mis en vente à la fin de l’épreuve, à un prix minimum fixé. Ils seront alors « emportés » par l’acheteur qui aura fait la meilleure proposition. Il y a des chevaux moyens ou médiocres, dont les propriétaires essaient de se débarrasser.
Deuxième catégorie : les courses de « série » au PMU.
Elles regroupent deux catégories : les courses « à handicap », et « à conditions ». Au programme ce sont les plus nombreuses. Avec elles, vous allez vibrer tout au long de l’année, sur tous les hippodromes de France… Elles permettent à tous les chevaux, quel que soit leur niveau, de vivre de leur métier.
Voici les 2 catégories :
- Les courses « à handicap » : ce sont des courses souvent très fournies en candidats, très disputées, et de ce fait régulièrement choisies par le PMU pour servir de support au Quinté+. Le principe est simple : des juges attribuent du poids supplémentaire aux « meilleurs » chevaux. Ainsi, les chances de tous les partants seront plus équilibrées. Pour le PMU l’avantage est triple : avec un « handicap » l’arrivée est plus serrée, c’est plus spectaculaire, et la tâche des parieurs est plus compliquée ce qui garantit des bons rapports.
- Les courses « à conditions » : pour y participer, les chevaux doivent obéir à des conditions très strictes, fixées par les sociétés de courses. C’est souvent des conditions d’âge, de sexe ou de gains. Pour que le cheval ait le droit de courir, il doit respecter ces conditions.
Troisième catégorie : les courses « de sélection » ou « classiques »
Pour finir, les courses « classiques » sont les plus fameuses, et les plus richement dotées. Vous connaissez les Grands Prix d’Amérique et de l’Arc de Triomphe ? Ce sont des courses « de sélection » ! Elles permettent de sélectionner la fine fleur des chevaux (mâles et femelles), pour en faire des reproducteurs. Les propriétaires s’arrachent leur progéniture, qui hérite fréquemment des qualités des parents… Dans ces courses de prestige, tous les concurrents, parfois peu nombreux, sont à égalité, sans poids ni rendement de distance.
Pour vous rendre vraiment compte des différences entre ces catégories, un conseil : regardez les courses sur Equidia (la chaîne de courses) ou sur Internet !
Si vous avez des questions, posez-les dans l’espace commentaire ci-dessous, l’équipe du CDCH se fera un plaisir d’y répondre. Le CDCH vous offre les 7 secrets pour gagner plus grâce aux courses hippiques afin de vous lancer en toute tranquillité sur les champs de courses !
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